5 bonnes raisons de se mettre à l'équitation !

En plus de développer un lien spécial avec l'animal, l'équitation est un sport aux bienfaits multiples sur la santé mentale et physique. Découvrez 5 bonnes raisons de monter à cheval.

@action-sejours

1.Le cheval c’est bon pour le moral :

@contre-galop

Pour 90% des personnes, le cheval représente la liberté. L’équitation permet au cavalier d’établir un contact privilégié avec les poneys et les chevaux mais aussi de découvrir des sensations nouvelles et intenses.Les équidés sont considérés comme des êtres sensibles.

Le cheval ou le poney est souvent utilisé comme médiateur thérapeutique.

2.Pour gagner en confiance en soi :

@meetinggame

Juste la présence d’un cheval de prêt d’une demi tonne, peut en effrayer plus d’un. Les premiers contacts sont souvent impressionnants puis avec le temps, on gagne en aisance et on apprend à faire lire les comportements de cet animal attachant, à respecter ses émotions et à se faire respecter.

La pratique de l’équitation va aussi permettre de développer le courage, la persévérance et l’humilité.

3.Une passion à partager :

@contre-galop

L’équitation n’est pas un sport individuel car il se pratique avec un autre athlète : le cheval. Et pour compliquer la donne, il ne peut pas vraiment vous raconter ses états d’âmes, la mauvaise nuit qu’il a passé ou les courbatures de la veille qui le raidissent. C’est à vous de savoir décrypter tout cela.

Certaines disciplines sont aussi très proches des sports d’équipe. Prenez l’endurance par exemple : sans une équipe d’assistance qui connaît parfaitement le cheval, il est impossible de faire des courses de plus de 40km…

Et même lorsque vous ne faites pas de compétition, l’équitation est une passion partagée qui permet de nombreux échanges intergénérationnels.

L’équitation favorise le respect des autres, de la vie animale, donne le goût de l’effort, de l’engagement et de la persévérance.

4.Muscler les zones rebelles grâce à l'équitation:

Galop, pas, trot... Toutes les allures font travailler des muscles rarement sollicités par ailleurs. 

Principalement les adducteurs - à l'intérieur des cuisses -, qui doivent suivre en suspension les impulsions du cheval (environ 100/min, au pas). Aucun risque de «  gonflette  »  : le rythme des contractions est tel que le résultat s'apprécie en termes de galbe plus que de volume. En clair, on a vite la cuisse fuselée  ! Autres muscles profonds à bosser dur  : les abdominaux et les dorsaux.

5.Se rapprocher de la nature:

@marieclaire

Une randonnée équestre n'a rien à voir avec une «  classique  » balade en forêt. 

Le rapport avec l'environnement est modifié. D'abord parce qu'on ne voit pas les mêmes choses en hauteur  ; ensuite parce les sensations du cheval - (vibrer dès qu'il entend un oiseau, qu'il voit un chevreuil ou s'il se méfie à l'approche d'un bosquet...) deviennent aussi les nôtres.